Les chroniques
différées de Mme Student, chapitre 77
Actes épars et pensées
disparates
L’existence et les
petites choses
Traces de vols sur
terre et dans le ciel
Jus de théière chez Afriquia
Madame Student, prête-moi ta plume, pour
exprimer des maux. Merci pour ta compagnie, pour le dessert et pour le temps
passé en commun, même s’il n’y a plus de relations entre nous, depuis ta
retraite et ton départ au Barzakh. Maintenant tu es plus proche de Dieu.
Vois-tu, je tiens le verre que le jet de
thé remplit en faisant des bulles de tailles inégales, qui flottent en surface
avant d’éclater. Plus bas, les débris de feuilles de thé tourbillonnent en
désordre. En apparence seulement ! Hasard du flux, sans importance
mathématiques ni logique physique calculée. Celle de l’écoulement interne du
flot invisible qui tourbillonne et remue les bouts de feuilles infusées. Mais
que des rhéologues pourraient évaluer, question de s’amuser…
Les morts vous interpellent
Les malades aussi ! A Lhaj Saïd
pour qu’il se rétablisse. Ainsi pouvait-on prévoir, la longévité de Boutef par
rapport à celle raccourcie par ses pairs de Boudiaf, l’ethnocide palestinien
par des démocrates et celui des Rohingyas ? Pouvait-on prévoir et empêcher
la vente des africains comme esclaves en 2017 ? Là, au pays de feu
l’empereur d’Afrique, Kaddafi, qui assassiné par les mercenaires des
saigneurs blancs de la république amie ? Pouvait-on prévoir les noyades de
chacun des émigrés blancs ou noirs entassés dans leurs barques comme des
sardines dans un filet ? Certes !
Pouvait-on imaginer la mort accidentelle
dans la cohue des 15 récipiendaires de la charité de Sidi Boulaalam, là, aux
environs d'Essaouira. Le Fquih El Hadidi et ses
bienfaiteurs, pouvaient-ils imaginer le drame et en évaluer les risques
potentiels ? Et les autorités du village, les cadres hypothétiques, les
organisateurs, auraient-ils songé aux risques grégaires des foules affamées et
de la présence des parasites inopportuns ? Ce millier et demi de femmes,
agglomérées dans un souk sont parties, elles-mêmes, en offrande ? Cirque
de sables, zoo à bestiaux et table de sacrifice ou abattoir pour des démons
sacrilèges ?
Footisme
Cette foule effervescente et
ensanglantée répond aux foules qui ont célébré dans la joie et l’enthousiasme
patriotique la victoire de l’équipe nationale du Maroc sur son homologue
d’Afrique ! Est-ce le pari, la paye diabolique, la rançon livrée à
Satan ?
Résilience du civisme par les religieux
et prospective administrative se confondent et s’opposent, par erreur,
susceptibilité ou négligence ? Et ce, au moment crucial de faire du bien,
de la charité envers les démunis. Paradoxes marocains. Mohammed VI ne peut
prendre tous ces drames en charge.
Bambou érectile
Après la bousculade homicide, à côté de
la balustrade du café maure, voici un bosquet plantureux s’épanouit majestueux.
Un bambou s’épanouit superbement, il dresse ses longues feuilles triangulaires
et pointues. Certaines, tout en haut se recourbent, menaçant de faner. L’arbre
a besoin d’eau pour redevenir turgescent et faire reverdir son feuillage jauni,
afin de revivre et de nous donner une meilleure vue.
Toute une chimie, que personne ne
remarque, mais qui signifie le maintien de la vie. Ce qui valable pour cet
échantillon, que tu aperçois, est le sort et la mission de toutes les plantes.
Ce fut même le cas de ces forets géologiques qui nous donnent du pétrole en ce
moment. Et l’origine de la puissance et de la richesse entre autres des
ricains. Comme de leurs assujettis d’orient. N’est-ce-pas ?
Sagesse insectoïde *
Papillons sans ailes, mouches sans
pattes et vers sans têtes, des êtres sans existences utiles, sans avenirs vrais
ni parcelles de vies. Vies délétères, dignes des microorganismes, les microbes,
et moins encore !
Les eaux et les insectes
Ce sont ces êtres voués aux vagues. Ce
sont ces civils explosés, du fait de ces guerres multiples et inutiles. Avec
des nuances à respecter, il y a des pays qui en jouissent pour de vrai, et ce
dans la paix des leurs. Les autres, c’est du bétail, ou moins que ça, des
parasites ! Pire que les pauvres esclaves d’antan, ce sont des ‘’choses’’
qu’il faut utiliser puis détruire. C’est net et vrai, c’est ce qu’ils font
apparemment et ce que beaucoup d’infra-pays* pensent !
Rengaine
Pourtant, ces pays dévastés de
Mésopotamie furent les berceaux des cultes, de l’écriture, des sciences et de
l’humanité ! Leurs chefs vilipendés, honnis, destitués, pendus ou
mitraillés, leurs états déstructurés… Que dire de leurs peaux colorées, de
leurs cultes particuliers, de leurs terres dévastées depuis ? Et de ce
qu’elles pouvaient produire sans doute et leur donner à eux et aux autres pays
comme valeurs et vies ?
Visions hautaines
Quels mérites, quels bonheurs, quelles
joies et quelles supériorités, quelles paix enfin, cela pouvait-il leur donner
à ces potentats universels, une fois leurs cibles et leurs proies, leurs
victimes, ces peuples déchirés, leurs frontières fracassées, leurs terres nettoyées
?
Qu’auraient-ils perdu en laissant faire
la paix et les états tels qu’ils étaient au lieu de les dévaste, les aider ?
Faisons un calcul ? Qu’a-t-on gagné avec tous ces pays militaristes,
démocratiques, impérialistes, civilisés et si cultivés, pleins de milliardaires
et de gens si fortunés ? Leurs politiques, leurs savoirs, leurs calculs, leurs
peurs, leurs haines, leurs desseins machiavéliques et leurs actes extrémistes,
non avoués et non- dits ?
Parangons désuets
Exemples aguichants et minables !
Qu’a-t-on gagné avec leurs prestiges ostentatoires, leurs gouvernances, leurs
bellicistes expériences du passé, leurs prévoyances et leurs
prospectives ? Qu’a-t-on gagné avec leurs tyrannies millénaires arrogantes
et racistes, d’êtres supérieurs, blancs et purs, plus qu’hégémoniques et plus
que parfaits ? Dites !
Qu’a-t-on gagné avec leurs savoirs
réels, oui réels, leurs forces prodigieuses et omnipotentes, leurs terrorismes
terrifiants, leurs certitudes pleines de suffisances ? Fascisme fascinatoire
de mastodontes tyranniques ? Impérialistes envahissants !
Dites ! Sont-ce là le bonheur, le savoir, l’instruction, la santé ou la
longue vie ? La liberté ou l’aisance, que vous vantez ? Ah, c’est la
sécurité obtenue par les guerres préventives et leurs rappels vaccinatoires*,
pratiqués chez les autres, pardi !
Guerres préventives vaccinales
Loin des yeux loin du cœur. Guerres
utilisées comme un pis-aller, une bombe dans des boîtes loin de soi, en cadeaux
fermés ! Une quelconque purge extramuros, alors, des explosifs que l’on fait
éclater ailleurs pour assurer sa paix intérieure et gommer la vermine !
Je suis, parce que je te hais !
C’est une devise existentielle, qu’ils
diraient en faisant allusion aux étrangers qu’ils détestent ! Ils sont
unis dans cette religion. Les parasites, pensent-ils, que ces autres. Des
barbares et des sauvages, des truands, qui n’ont rien de civilisé, de pacifiste
ni d’humain et qu’il faut pousser à s’entretuer ! Un certain Charles De
Gaule avait sorti cette sentence-là ! On est édifiés par les plus
grands !
Voilà leurs bonnes manières
politiques ! Un terrorisme d’état, un fanatisme culturel, un ostracisme
répulsif, un apartheid ethnocidaire, vécu comme une culture et un ciment qui
les unit et les renforce. Ce sont des recours ‘’philosophiques guerriers’’ qui
justifient pour eux et à leurs yeux, de commettre ou de faire perpétrer
indirectement ces meurtres outre-frontières !
Exécrer abhorrer
Baves haineuses. La xénophobie
défensive, les obnubile et les tient à devenir un label, un credo. Ça en
devient une de leurs qualités maitresses, un paramètre de leur identité raciste
et hermétique. On ne fantasme plus sur l’exotisme, on exècre les étrangers.
Heureux que ce ne soit pas vous ni que cette lapidation culturelle et civilisée
soit générale !
Des êtres furtifs et virtuels.
Tout est relatif et rare. Tout est
virtuel avec le temps qui courre et qui est si court pour chacun de ces êtres
irremplaçables. Si court et tellement dilapidé par chacun de ces êtres, dans
des riens particuliers ! Des vies et des êtres, frêles souvent inutiles,
sans échos, sans importance, sans plan de naissance apparent, ni programme
d’existence, ou de futur palpable consciemment. Que le hasard et le destin, qui
sont probablement ou quasiment appliqués inconsciemment.
Enfer de proximité
Enfer sur terre pour une seule vie. Sans
espoir ni credo de retour, ivres aux mauvais alcools, ils vivent ! Exclus
sous les ponts et dans les impasses sombres, luttant contre le froid, les douleurs,
la misère et l’isolement.
Les émigrés et les réfugiés, arrivés ou
pas, ne sont pas mieux lotis devant cette haine et ces délaissements. On voit
leurs calvaires d’ici, on le sent sur notre peau, même de chez nous, ici, tant
les ardentes malveillances et les antipathies médiatisées à outrance,
surchauffent de leurs haines les racismes divers !
Du pessimisme au stoïcisme
Mère Nature nous apprend à vivre mieux
et à plus philosopher pour nous activer et espérer. Ce s’appelle être, une
dynamique volontariste, coûte que coute ! Et ce bambou, cette tige verte
qui se hisse et s’ébranle, au regret des jours et des jambes ou des choses
intimes qui ne peuvent plus l’imiter ? Or voici que ses feuilles
jaunissent, à devenir ternes et moles. Elle manque certainement d’eau.
Les pluies ont trop tardé en cet automne
estival. Mais, ce n’est pas une raison, le vieux, pour pisser sur les pieds ou
les troncs ni pour la déserter le jardin.
Et c’est pour quand les prières
surérogatoires afin d’appeler les pluies en invoquant la grâce d’Allah ? A
moins que vous n’attendiez les prévisions climatiques ou que vous n’y croyiez
pas ?
Je ne peux pas imaginer que grand’père
Lafquih ou que Père et Mère, My Othmane et Khity Saadia, n’existent plus ! Ou
qu’ils ne nous entendent pas, pour intercéder en notre faveur, d’une façon ou
d’une autre !
Lui, c’est le lac, moi c’est le
ciel
Ce vol d’oiseaux, l’élégance de leurs
ailes, le soleil vibrant dessus…Les nuages rougis qui trainent sur les boules
et les croissants des minarets….Les muezzins qui saluent en chœur la vue de la
pleine lune, qui brille par moment ou pâlit…
Mon Dieu, ce spectacle, celui de Ta
création, ça va me manquer. Ça va me manquer tout ce qui m’a fait réfléchir et
ce qui m’a marqué ! Serais-je conscient de ces manques, une fois que je ne
serais plus ? Que de milliards de milliards d’êtres, passagers de ces
vies, sièges vidés en transit, sans origine, ni raison ni horizons, pour leurs
chutes ! Sont-ils des hasards de route ? Clodos clandestins ou
badauds se poseraient les mêmes questions sans que personne ne puisse ou ne
veuille leur répondre à tous, en leurs temps ! Des questions
infantiles, stupides ou futiles !
Garderas-tu le souvenir et seras-tu
conscient de tes rêves, de ce que tu es, de ce que tu as fait ? Garderas-tu
cela en mémoire, physiquement, sentimentalement, cordialement ? Toi que
les cauchemars nocturnes et les peurs de jours réveillent ! Cette eau qui
coule de ta chasse, ces vagues bouillonnantes qui sortent des nues, ces feuilles
brunies qui tombent, laissant les branches livides et sans phanères, trembler,
me pousse à songer…Les platanes se couvrent de marrons et de chocolats
dorés…Des feuilles étoilées, hier vertes, embellies de couleurs pour la saison,
vont bientôt tapisser le sol et s’y étaler. L’hiver de la vie interpelle les
vieux, il les met au lit et les couvre de draps, avant de les emporter.
Le ciment tue
Autant que les poussières noires, les
odeurs suffocantes nauséabondes et les fumées du ciel. Cette rangée de faux
poivriers, vieillis eux aussi, sont menacés par la municipalité qui veut les
décimer.
Ils font face à ces immeubles-cités,
dits des jardins ou du parc, et aux carreaux du sol déjà cassés. Ils ont coulé
leurs restes de ciment, par citoyenneté et pour le partage, autour des troncs
pour empêcher les arbres de survivre à leur OPA et pour les condamner à jamais.
Un état déplorable qui me laisse éperdu…Entre les arbres, les hommes et le
ciel, la mystique perce et fait fantasmer les humanoïdes en mal d’âme pour se
pérenniser un tant soit peu.
Alzie m’obsède et me
Ce moi multiple, ses souvenirs parsemés,
resteront-ils après qu’Alzie aura emporté la mémoire ? Et que le corps
sera liquéfié, parti en argiles ou en cendres, mâché par les mandibules, ses molécules
aspirées sur place et aussitôt recrachées pour être recyclées ? Est-ce cela la
métempsychose attendue ? La reviviscence, le parcours entre les karmas
dans les êtres qui t’auront de nouveau absorbé ? Respectons les animaux
inférieurs, ils ont quelque chose de nous ! Et nous pareillement de ce
qu’on aura souvent immolés, ingurgités, pour nous construire et nous
rafistoler ! Ou nous attabler autour de ces repas plantureux, des fêtes et des
mariages onéreux, dispendieux et tellement ennuyeux !
Ben qui ?
Par-delà les succès manifestes et les
ratés des uns et des autres que SM a stigmatisés, et sauf abus, Benkirane dit
tout haut son avis personnel. Ce qui coïncide avec ce que beaucoup sentent,
mais tout bas. La franchise n’est pas donnée à tout le monde politique.
Respect, timidité et pudeur, appréhension des charges vengeresses et
peurs ? Les sorties politiciennes, les massages dans le sens du poil et
autres pommades, varient selon les affidés et les leaders, tout en changeant
selon les circonstances.
Refrains sur Agoravox
Vous venez de lire mon exposé sur Agoravox
intitulé : ‘’ Tu demandes trop à dieu, quand tu y crois’’ Certains on
écrit en réponse : ‘’ C’est déjà trop exiger que de demander à Dieu
qu’il existe ’’ et encore : ‘’ Et si la terre était l’enfer d’un autre
monde ? J’ai répondu rapidement : ‘’c’est un peu ça, puisque beaucoup y
souffrent.
Certains non, parce que ce sont eux les
matons ! Ou que ce soit ici que l’antichambre de stage et
d’adaptation pour pire que ça. Et les vrais enfers seraient la galère et pire
que ça !
A M. Lonfoiret, je réponds ‘’ Merci
de vos 3 ou 4 questions que je reprends ici pour y, répondre. Vous écriviez ‘’
Puisque vous êtes croyant, je me permets de vous poser ces
questions : La foi vous aide-t-elle à vivre ou à mourir? Est-ce un
peu la possibilité de vous dégager de votre responsabilité ? En vous
disant ‘’ Ce n’est pas moi mais c’est dieu.’’ Pour ma part je n’ai jamais
compris la foi de ceux qui y croient. Un film très bien fait que vous devez
voir sur Arte ‘’ Ma sœur ’’.
Voici mon long laïusse.
La Foi est pour moi, un ébahissement
devant la Nature et la Création. Créations, celles des atomes et de leurs
infras à ces superstructures, qui défient nos sciences, nos sens, le temps, les
dimensions et nos instruments. En deux mots, j'admire la Nature et la Vie. Et
je leur colle un Responsable. Cette admiration est pour moi celle que je porte
à l'univers et à la Création. Elle est synonyme de Foi. Et qui dit
Création interpelle donc un Faiseur ou le sous-entend. Ce que j’appelle un ‘’ X
‘’. Et qui est bien sûr l’Horloger, l’Architecte de la littérature ! Appelez-le
Dieu, si vous voulez ou par l'un de ses synonymes cultuels courants !
La Foi est donc pour
moi, une espérance pour un dépassement de cette petitesse de la Vie et de sa
butée, la mort ! L’effacement la perdition ! La Vie, la mienne, d'abord et
pardessus, celles immenses des autres. Quels qu’ils soient, ils sont petits,
mais admirables pour ce qu’ils réalisent. Ils représentent donc un impact, une
influence sur moi. L’influence de ceux des gens passés (d’abord les
responsables de notre histoire connue, de nos origines, plus ou moins cernées
et de nos découvertes scientifiques. Puis, l’influence de leurs diverses
applications dans la vie, dans le sens large de celles-ci ) puis. Puis, il y a
l’impact de ceux qui vivent dans mon milieu, au sens étendu du terme. De là,
leurs réactions, méconnues de moi, représentent un tant soit peu, le ‘’ facteur
Hasard ‘’. Y ajouter dans ce sac (échappatoire) tous les facteurs sensibles ou
pas du milieu, du climat, au temps… (Je ne peux pas tout énumérer)
Si j'admets le Hasard,
je mets dans cet interface, les ‘’ actes ’’que je ne sais pas analyser quant à
leurs origines alternes multiples, indépendantes de ma volonté. Et qui
proviennent d’Autrui, tout le monde, le Monde, ses chimies, ses maths, ses
physiques, ses rayonnements…Et j’en saute !
De ce fait, je perçois
ou j'entrevois là, dans ce Hasard une des ‘’interfaces’’ du ‘’prisme’’ Destin.
Dans tous deux dans leurs sens et leurs limites ! Et la
signification du Destin me dépasse et je ne sais pas l’expliquer, pour le
moment, plus que ça. Le Destin, c'est aussi notre cursus à l’intérieur de notre
identité organique (génétique-vie-biologie) et puis l’amoncellement de ces
actes, les uns envers et face aux autres. Toutes ces interactions sur moi et
vous et envers nous. Ceux qui relèvent du Hasard et du Destin. Y entrent
et y participent les actes de ceux qui nous aiment et qui nous aident et
puis ceux des gens qui font le contraire…
Et face à ces hasards,
le destin se dessine comme un facteur impondérable extrêmement large. De là, ma
Responsabilité n’est pas univoque. Comme elle est obligatoirement engagée mais
fortement limitée par le milieu et par autrui. Il y a tellement de facteurs et
de paramètres, indépendants de ma ‘’ petite-vie-moyens-volonté’’ qui de ce fait
limitent, inhibent ou exagèrent de Ma Responsabilité. Mais je ne
peux pas dire que je suis totalement Libre de mes Actes ni des Responsabilités
qui me sont affectées. Mes actes se heurtent à ceux des autres, s’ils ne vont
pas avec, ils sont soit insignifiants, inopérants ou inopportuns.
Merci beaucoup de vos
questions.
Dr Idrissi My Ahmed,
Kénitra, le 22 novembre, 2017